Ecrire sans faute, un gage de qualité

Ecrire sans faute, un gage de qualité

Vous communiquez souvent par écrit sur votre entreprise mais vous n’êtes pas un as de l’orthographe ? Découvrez quelques techniques de correction et préservez votre image.

L’écrit fait partie intégrante de la communication d’une entreprise. Mails, réseaux sociaux, sites internet, plaquettes, rapports ou comptes rendus, la plupart des professionnels sont amenés à écrire au quotidien. Mais peu d’entre eux ont une bonne maîtrise de l’orthographe. D’où une multitude d’écrits remplis de fautes, qui nuisent à l’image de leurs émetteurs. Comment être sûr de publier des textes sans erreur ? Quelques astuces peuvent vous y aider.

L’outil le plus connu est bien sûr le correcteur orthographique de votre traitement de texte. Ne le négligez pas ! S’il ne détecte pas toutes les fautes de grammaire, au moins il permet d’éviter les fautes de frappe. C’est déjà ça.

Autre conseil de bon sens, relisez au calme, mettez-vous dans votre bulle afin d’être bien concentrés. Et lisez lentement. La relecture est fastidieuse, on peut être tenté de l’accélérer. Le risque est alors de laisser passer des erreurs.

Redécouvrez vos textes

Idéalement, programmez votre relecture le lendemain ou quelques jours après la phase de rédaction. Vous aurez pris du recul, les fautes ou mauvaises formulations vous apparaîtront de manière plus évidente.

Modifier l’aspect de votre texte apporte un regard différent sur celui-ci et permet de le corriger plus efficacement. Vous pouvez par exemple l’imprimer ou changer de format de caractère.

Le piège lorsqu’on se relit est de se laisser prendre par le récit et de ne plus prêter attention à la forme. Lire son texte à l’envers permet de s’affranchir du sens, donc d’identifier certaines erreurs.

Enfin, vérifiez rigoureusement les éléments extérieurs au corps du texte : titre, légendes, coordonnées… Souvent relus de manière superficielle, ils sont pourtant les passages les plus utiles, et les plus lus. Y laisser des erreurs est donc du plus mauvais effet.

Faites-vous aider

Pour des documents volumineux, d’autres règles sont bonnes à connaître. Tout d’abord, le cerveau a besoin d’un certain échauffement. Vous ne serez donc réellement efficaces qu’au bout de plusieurs pages. N’hésitez pas à revenir sur les premières pages. Découper la relecture peut également s’avérer utile : une pour les tournures de phrases, une pour les accords… Soyez attentifs aux erreurs que vous savez avoir l’habitude de faire. Puis terminez par une relecture globale.

Les auteurs chevronnés le savent. Ce n’est pas une bonne idée de se corriger soi-même. Alors, si vous en avez la possibilité, faites appel à un regard extérieur, voire, selon l’enjeu et vos moyens, à un prestataire spécialisé. Ecrire est un métier, corriger aussi !